Du boudin antillais
Après avoir longtemps tergiversé entre fée coquette et pompier… ma blondinette-ours polaire a aujourd’hui une nouvelle vocation…
Elle se lance en cuisine comme marmiton… et c’est décidé, elle fera carrière pour devenir : chef-cuisinière !
Elle savait nous faire des flans, elle maîtrisait l’art de faire un cake, mais sa recette préférée du moment, c’est le boudin…
Elle fait du boudin et elle le fait super bien…
Du boudin par ci, du boudin par là…
Du boudin blanc, du boudin noir…
Du boudin aux pommes, du boudin aux poires…
Mademoiselle aime tellement ça qu’elle nous en sert à toutes les sauces…
Et quand elle s’y met, elle ne lésine pas sur les quantités…
Elle nous en fait tout un plat…
Mais sa spécialité, c’est le boudin antillais… le petit boudin pimenté…
Le problème… c’est que le boudin, ce n’est déjà pas ma tasse de thé… mais alors celui là, il est carrément trop épicé…
En réalité, je peux à peine y goûter que déjà la moutarde me monte au nez…
J’ai beau lui dire de ne pas forcer la dose, la blondinette n’écoute rien et n’en fait qu’à sa tête… de lard…
Méfie-toi fillette, faudrait pas prendre ta mère pour une andouillette!